Une euthanasie qui ne dit pas son nom.

La sédation terminale est déjà possible et pratiquée, et ne constitue qu'une des multiples réponses à offrir à un patient en fin de vie. L'ériger en droit et en solution ultime, faisant fi de la complexité de chaque cas, prend le risque de la transformer en une euthanasie qui ne dit pas son nom. A lire ici http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2015/01/20/31001-20150120ARTFIG00455-fin-de-vie-l-appel-des-deputes-de-l-opposition.php